NE NOUS PRENONS PLUS LA DETTE  !
En trente ans, la CRISE de la “DETTE PUBLIQUE” a gagné
tous les pays occidentaux.
Elle impose des mesures d’austérité, paralyse les
politiques nationales, menace les fondements de l’Union
Européenne.
On reproche aux Etats de vivre au dessus de leurs
moyens…
Quelles ressources  a t-on réduit ? 
Quelles sont les dépenses nouvelles ?
Avec les mesures
d’austérité,  sommes nous en bonne voie ?
Et si l’essentiel du problème était ailleurs : dans une
logique et des mécanismes simples, bien cachés, à l’origine d’un cercle vicieux
d’endettement… Y a t-il  d’autres remèdes que davantage d’impôts et
moins de dépenses sociales ?

Sur toutes ces interrogations, l’équipe du
CinéCitoyen vous propose un passionnant montage d’interviews et de films
d’animation.
La projection sera suivie d’un débat,  avec
participation d’économistes soucieux .. d’être clairs.

Pour la bande annonce –> voir la vidéo ci-dessous :

Pour les + courageux, une animation sur la Banque Centrale (brrr)


voici un lien concernant “la vérité sur le cholestérol” : qui illustrent bien l’inutilité des statines dans le traitement du mauvais cholestérol.

 http://news.doctissimo.fr/Sante/La-verite-sur-le-cholesterol-le-livre-polemique-du-Pr-Even-31290

Philippe even

Vous souvenez vous du Cholestérol ? son excès frapperait des millions de
français…
Relisez BIEN l’interview ci-dessous du professeur de Lorgeril,
chercheur et cardiologue,
qui a révélé l’arnaque  dans son livre (2008)
Cholestérol, Mensonges et Propagande :  Tout est dit très clairement


Cholestérol
: “7 millions de Français prennent un traitement pour rien !”

Le Point.fr – Publié le 16/02/2013  Le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur, alerte
depuis plus de dix ans sur le mauvais procès fait au cholestérol et les dangers
des médicaments anti-cholestérol.


 


Le Point.fr : Le cholestérol ne serait donc pas dangereux ?
Dr Michel de Lorgeril : Au contraire ! Il est à l’origine d’un nombre incalculable
de fonctions, indispensable au bon fonctionnement des cellules, des muscles,
des neurones, du coeur, du cerveau et de la digestion.
Sans lui, pas de communication entre les cellules ; il est à l’origine des
hormones sexuelles, de celles du stress, de la reproduction, et de la très
précieuse vitamine D. Le perturber avec des médicaments, c’est jouer à
l’apprenti sorcier.

Pourtant, on parle du mauvais cholestérol…    Il
n’y a pas de cholestérol bon ou mauvais, c’est un mythe
.
Ce qui est mesuré n’est pas le cholestérol mais ses transporteurs : les lipoprotéines
ou LDL (désignées comme mauvais cholestérol) transportent le cholestérol du
foie, où il est fabriqué, vers les tissus qui en ont besoin, et les HDL
transportent les excédents des tissus vers le foie. C’est tout.
Il ne serait pas responsable des accidents cardiovasculaires, comme on le
dit ?
(…) c’est seulement un médiocre marqueur de risques. Mais pour
connaître les risques cardiovasculaires, mieux vaut interroger les gens pour
savoir comment ils vivent vraiment et examiner consciencieusement chaque artère
par la palpation et le stéthoscope.
D’après, vous le cholestérol ne bouche pas les artères…
Tous les cardiologues savent qu’un infarctus
du myocarde
est dû à une occlusion artérielle aiguë, elle-même toujours
causée par la formation d’un caillot de sang. Or, on connaît bien le processus
biologique qui conduit à ce phénomène : plaquettes sanguines, fibrinolyse,
coagulation du sang… Cela n’a rien à
voir avec le cholestérol !
On a aussi accusé le cholestérol d’être responsable
de l’altération lente
et progressive de l’artère (athérosclérose).

Cela est faux
, car, dans ce dernier cas, le cholestérol est présent au
maximum à 10 %.
Donc, prendre des anti-cholestérol ne servirait à rien ?
Prendre une statine, la principale classe d’anti-cholestérol, n’améliore
l’espérance de vie de personne. Aujourd’hui, les recommandations officielles
sont dépassées car fondées sur des études très anciennes.
Le discours classique incite toujours à prescrire des statines après un
infarctus du myocarde. Pourtant, toutes les études scientifiques récentes depuis
2005-2008, n’ont jamais pu vérifier cette hypothèse.
Il serait urgent de rediscuter de toutes ces recommandations officielles. Mais
ces dernières sont écrites lors de réunions de consensus, majoritairement
financées par l’industrie pharmaceutique, comme d’habitude. Personne n’a donc
intérêt à revenir sur des recommandations qui datent de plus de 15 ans. Enfin,
plus grave, 90 % des prescriptions sont destinées à des personnes qui n’ont
jamais eu d’infarctus et donc à des bien-portants ! On imagine le marché….

Combien de personnes sont concernées par les traitements ?
En France, environ 7 millions de personnes consomment plus ou moins
régulièrement des statines, soit 1,5 milliard d’euros de dépenses pour
l’Assurance maladie !
Avec les effets secondaires que l’on connaît.
Les patients peinent à faire entendre leurs plaintes de douleurs musculaires ou
de problèmes de mémoire (…) Pourtant, les douleurs musculaires sont un effet
bien connu des statines : 15 à 50 % des patients seraient concernés. Les
médecins n’osent pas arrêter le traitement, de crainte d’être poursuivis car
cela ne rentre pas dans la ligne des recommandations officielles.
Outre qu’elles sont inutiles, vous dites des statines qu’elles sont
dangereuses…
  Absolument. Malgré
les arguments du marketing, les statines n’ont aucun bon effet, sauf
baisser le taux de cholestérol,
ce qui, en réalité, ne protège
nullement le coeur
. Elles pourraient être éventuellement utiles
pour certaines pathologies rarissimes, et encore… En revanche, à forte ou à
moyenne dose, on augmente les risques de cancer, de troubles sexuels, de
diabètes, des risques également oculaires, cognitifs, voire psychiatriques, et
on empoisonne les muscles.

Quelle est la solution?  (…)
On essaie de résoudre ce problème tout en préservant le business. Les États et
les autorités sanitaires ne veulent surtout pas un mouvement de panique. Les statines sont le plus gros marché du
médicament mondial
. Imaginez 30 millions d’Améri- cains qui ont pris des
statines pendant X années, à qui on annonce un beau matin qu’on a augmenté de
50 % leur risque d’avoir un cancer, alors que les données existent depuis 10
ans… Le genre de scandale qu’on essaie d’éviter.
Que conseillez-vous donc aux gens qui ont du cholestérol ? Il peut
être un marqueur, très peu fiable, d’un risque cardiovasculaire, mais ce sont
surtout nos habitudes de vie qui sont en cause : le tabac, la sédentarité, une
mauvaise gestion du stress et l’alimentation. (…)Il faut tout simplement
privilégier une diète méditerranéenne : peu de crème, de viande, de beurre
et privilégier des aliments de qualité, sans pesticides, de l’huile d’olive,
des poissons, des céréales complètes, des fruits et légumes… et parfois un
bon verre de vin !
Et à ceux qui ont déjà fait un infarctus?  On leur
raconte des mensonges !

Personne n’est condamné parce qu’il a déjà fait un infarctus ! On peut sauver
son coeur et retrouver un risque comparable à ceux qui n’ont jamais eu
d’infarctus par une réforme de son mode de vie, et cela sans statines. L’effort
doit porter là-dessus.

Et puis .. un bel exemple : comment une revue “scientifique” peut nous
embrouiller => cf article et  vidéo de Sciences et Avenir de sept. 2009
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/cholesterol/20130902.OBS5213/cholesterol-entre-vrais-espoirs-et-fausse-piste.html
http://www.youtube.com/watch?v=vIbEnuf0Suc

On y mixe
hypothèses, certitudes et erreurs ( on ne “souffre” pas du cholestérol )
on
y parle de Vérité sans dire Comment et par Qui des erreurs énormes (et
profitables)  ont perduré
on évoque une prise de conscience en 2013 sans même
nommer le professeur de Lorgeril (voir + haut) (2008)
On nous annonce que la
“communauté scientifique”  est déjà sur le “vrai espoir” d’une “molécule
révolutionnaire “

A méditer