Ron Jones a réellement existé et l’expérience qu’il a pratiquée a concrètement
eu les effets mis en scène dans le film. Inspiré du fait réel,
– La vague est également un roman de
Todd Strasser et un classique de la littérature de jeunesse, au programme de
nombreuses écoles allemandes depuis vingt ans. L’adaptation de Dennis Gansel a
de même connu un très grand succès outre-rhin.
– La Vague (Die Welle) est un film allemand
réalisé par Dennis Gansel en 2008
et librement inspiré de « La 3ème Vague », étude expérimentale d’un régime
autocratique, menée par le professeur d’histoire Ron Jones avec des
élèves de 1ère du lycée Cubberley à Palo Alto
(Californie)
en avril 1967.
de ses élèves de classe d’Histoire Contemporaine du Cubberley High School
(lycée) à comprendre l’asservissement de la population allemande devant les
horreurs des nazis,
il décida d’en faire la preuve par la pratique et réalisa la Troisième Vague, expérience sur le
fonctionnement de la dictature et la manipulation
des foules. Durant la première semaine d’avril 1967, il décida d’instaurer des
règles de discipline basées sur la communauté et de l’esprit de groupe. Il
convainquit ses élèves de l’importance d’éliminer la démocratie
en ce qu’elle peut stimuler les actes individuels. L’individualisme
est une tare de l’esprit démocratique qui va à l’encontre de l’intérêt général résumé dans ces mots :
« La Force grâce à la discipline, la Force grâce à la communauté, la Force
grâce à l’action, la Force grâce à l’esprit de fierté ». L’expérience
prenant des ampleurs inattendues a été arrêtée au bout de cinq jours. (En une
semaine, cette expérience inédite sur le fonctionnement d’une dictature comme
celle du troisième Reich connaît un succès inégalé et le nombre d’étudiants
atteint 200.)
vague est une étude expérimentale du fascisme
menée par le professeur d’histoire Ron Jones avec des élèves de première du
lycée Cubberley à Palo Alto (Californie)
pendant la première semaine d’avril 1967, dans le cadre d’un cours sur l’Allemagne
nazie. N’arrivant pas à expliquer à ses élèves comment les citoyens
allemands avaient pu laisser sans réagir le parti nazi
procéder au génocide de populations entières, Ron Jones décida d’organiser
une mise en situation. Il fonda un mouvement nommé « la troisième
vague », dont l’idéologie vantait les mérites de la discipline et de
l’esprit de corps, et qui visait à la destruction de la démocratie,
considérée comme un mauvais régime en raison de l’accent qu’elle place sur
l’individu plutôt que sur la communauté. L’expérience de la troisième vague a
inspiré le livre puis le film La Vague
(2008).
une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux
athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi,
elle assure la réussite des projets. Il passe ensuite aux travaux pratiques et
indique une position assise susceptible de faciliter la concentration et la
volonté : pieds à plat sur le sol, dos droit, mains croisées derrière le
dos. Il exige des élèves qu’ils adoptent cette position et vérifie qu’ils
obéissent. Il leur apprend ensuite à entrer et à sortir de classe, dans le
silence et la rapidité. Il donne aussi des instructions pour répondre aux
questions : désormais, les élèves doivent se lever, commencer leur réponse
par « Monsieur Jones » et répondre en quelques mots seulement. Une
série de questions réponses très intense conclut la séance. Les élèves se
sentent stimulés et motivés.
classe en « position d’attention » Jones inscrit au tableau la devise
du mouvement : « La force par la discipline, la force par la
communauté ». Il analyse l’idée de communauté
qu’il définit comme le lien unissant différentes personnes tournées vers un but
commun. Il exalte la valeur de la communauté en montrant qu’elle est cette
réalité au-delà de l’individu dans laquelle il s’accomplit en s’y intégrant. Ron Jones ordonne ensuite aux élèves de
réciter la devise du mouvement, d’abord l’un après l’autre, puis par groupes de
deux ou trois, puis toute la classe ensemble. La coordination atteinte permet
aux élèves de constater la réalité de la communauté, et de s’y sentir
pleinement intégrés, à égalité avec les autres. À la fin de l’heure, Jones
enseigne un salut
consistant à amener la main droite à hauteur de l’épaule droite, les doigts
arrondis en forme de coupe. Il s’agit d’un salut utilisé par les nazis, ce que
les élèves ignoraient. Il décide de nommer le mouvement « la troisième
vague », expliquant aux élèves que c’est à la fois parce que la main lors
du salut ressemble à une vague sur le point de déferler, et parce que,
conformément à une croyance populaire, les vagues de l’océan avanceraient par
groupes de trois, la troisième étant la plus forte. Il omet de mentionner aux
élèves la référence la plus importante, qui est bien sûr la référence au Troisième
Reich.
d’autres classes viennent assister à son cours. Il distribue des cartes de
membre aux élèves participant au mouvement.
Parmi les cartes de membre, trois, distribuées aléatoirement, sont marquées
d’un « X » rouge. Les membres porteurs de ces cartes se voient
confier la mission de dénoncer les membres qui ne respecteraient pas les
règles. Ron Jones donne une allocution sur l’action, entendue comme but vers
lequel tendent la discipline et la communauté, et sans lequel elles perdent
tout leur sens. À la surprise du professeur, plusieurs élèves lui expriment leur
satisfaction et leur joie de participer à la « troisième vague ». Les
élèves montrent de meilleures dispositions pour apprendre et participer en
classe. L’égalité instaurée entre eux incite les élèves les moins sûrs d’eux à
prendre la parole et à gagner en assurance. Les réponses aux questions se font
cependant beaucoup plus laconiques, et les élèves semblent perdre leurs
aptitudes à argumenter et à nuancer. Ron Jones dirige la classe vers l’action
pure : il donne l’ordre de dessiner une bannière pour la « troisième
vague », d’apprendre par cœur le nom et l’adresse de tous les membres et
de recruter de nouveaux membres. Plus tard dans la journée, Ron Jones constate
que la « troisième vague » prend des proportions inquiétantes. La
moitié des membres en dénoncent d’autres, même si seuls trois élèves ont été
spécialement désignés pour cette tâche. De nombreux élèves prennent la
« troisième vague » très au sérieux et menacent ceux qui tournent le
mouvement en dérision. Ron Jones constate aussi que, alors que les élèves les
plus médiocres participent de plus en plus et s’investissent beaucoup dans le
mouvement (l’un des élèves décide même de devenir le « garde du corps
personnel » du professeur, qui se laisse faire), les élèves les plus doués
supportent mal l’égalitarisme forcené du cours.
au lycée, Ron Jones découvre sa classe dévastée. Un
des parents d’élèves, vétéran de la Seconde Guerre mondiale et ancien
prisonnier de guerre, a pénétré dans l’établissement et commis des dégradations
sur le matériel. L’expérience perturbe la vie du lycée de manière
manifeste : des élèves sèchent leurs cours pour venir assister aux leçons
de Ron Jones (quatre-vingts élèves serrés comme des sardines, au lieu des
trente habituels), et une « police
secrète » s’organise sur la délation
et la peur. Inquiet de l’ampleur et de la tournure que prennent les événements,
sentant l’expérience lui échapper, incertain de ses propres motivations pour
poursuivre, Ron Jones décide d’en finir. Après une allocution sur la fierté,
il annonce que la « troisième vague » n’est pas seulement une mise en
situation au sein du lycée, mais bel et bien un projet d’ampleur
nationale destiné à modifier en profondeur la vie sociale des États-Unis.
Il prétend que d’autres enseignants ont, comme lui, fondé des « troisièmes
vagues » partout dans le pays et que, le lendemain, à midi exactement, le leader national
du mouvement s’adressera aux jeunesses de la « troisième vague ». Il
s’appuie sur la volonté des membres pour organiser en vingt-quatre heures une
réunion exemplaire.
à préparer la salle de conférence du lycée. Les élèves commencent à arriver dès
11 h 30. Deux cents étudiants assistent à la réunion. Certains ont
apporté des bannières. Des amis de Ron Jones, déguisés en reporters et en
journalistes, prennent des notes et photographient les participants. À midi,
les portes sont closes et des gardes postés de faction. Ron Jones montre à ses
amis l’obéissance aveugle des jeunes présents : il les fait saluer et leur
fait réciter la devise du mouvement. À midi cinq, Ron Jones
fait éteindre les lumières et allumer des écrans de télévision, annonçant le
discours du leader national. Après quelques minutes de silence attentif devant
les postes ne montrant que de la « neige », les élèves finissent par
s’apercevoir de la supercherie. Coupant court à leur stupeur, Ron Jones procède
à un débriefing :
il explique comment il les a manipulés et dans quelle mesure ils se sont
laissés manipuler. Il leur fait visionner un film montrant des images
d’archives du Troisième Reich. Répondant aux questions des
élèves, il leur montre à quel point il est facile de verser dans le totalitarisme.
Il leur explique aussi combien être dupe de ficelles aussi grossières est
honteux, et répond à la question originelle : les Allemands ont nié avoir
eu connaissance de l’extermination des Juifs, des Tziganes, des
homosexuels, etc., de la même manière que les élèves de Cubberley nieront
avoir participé à la réunion. Il clôt l’expérience.
de l’école, le Cubberley Catamount, consacre à l’expérience une brève
extrêmement courte (numéro du 7 avril 1967[]) et un article de fond, pourtant
assez peu détaillé (numéro du 21 avril 1967[]). Ces deux textes constituent les
seules sources contemporaines de l’expérience. La « troisième vague »
est citée une dernière fois dans un numéro du Cubberley Catamount de
décembre 1967[].
qui prédominait à la fin du dernier cours (un élève interviewé par le Cubberley
Catamount admet se sentir « stupide »), ainsi que la peur (Ron
Jones décrit la « troisième vague » comme « l’un des événements
les plus effrayants que j’aie jamais vécus dans une salle de classe ») a
conduit à conserver une grande pudeur sur l’expérience. Le Cubberley
Catamount rapporte cependant que Jones a réitéré une expérience
« ressemblant au mouvement fasciste « Troisième Vague » »
de l’année précédente, destinée cette fois selon Jones à simuler « une
situation similaire à celle de la Chine des années 1900 », et restreinte à
une journée.
professeur écrivit ses souvenirs en 1972, sous le titre The
Third Wave, et les publia au printemps 1976, sous le titre Take
As Directed, dans un magazine alternatif, The CoEvolution Quarterly[].
Des psychologues
s’intéressèrent alors à l’expérience menée par Ron Jones, notamment en matière
de malléabilité d’esprit chez les adolescents.
Notamment Philip
Zimbardo, professeur à l’Université Stanford, et initiateur d’une expérience de psychologie dite « de
Stanford »
1)- L’essentiel du débat :
Aprés un exposé introductif de Christine TREMBLAIS expliquant les mécanismes de la montée de la
dictature nazie en Allemagne
les interventions du public et des animateurs
ont porté sur des formes de dictatures plus actuelles :
- à partir de l’explication de la dictature en Allemagne, on est arrivé à parler
d’autres formes de dictature plus actuelles avec le pouvoir de l’argent et de la
finance qui sont des formes de dictature moins voyantes mais tout aussi
puissantes et qui tirent profit des nouvelles technologies. - le débat a porté aussi sur l’éducation (ou le manque d’éducation) des jeunes, leur
manque de repères et la pression qu’ils reçoivent pour être conformes aux
autres. L’accent a été mis également sur l’attirance envers la violence (car
présente dans les familles).
2)- l’exposé introductif de Christine Tremblais
dans un contexte de triple crise :
Traité de Versailles vu comme un «Diktat»
qui affaiblit l’Allemagne : traumatisme et ressentiment, d’où exacerbation du
nationalisme.
tentatives de révolution communiste (Rosa Luxembourg) et d’autre part des«
Corps francs», groupes d’extrême-droite menées par des officiers nationalistes,
assassinats politiques perpétrés. Incapacité du gouvernement et partis
traditionnels à résoudre la crise, méfiance
économique grave marquée par hyperinflation : la monnaie ne vaut plus rien, effondrement
monétaire.
sociale : l’inflation ruine une partie des classes moyennes, augmentation du
chômage ( 6 millions de chômeurs). d’où agitation sociale (grèves).
possédants (industriels, grands propriétaires) vis-à-vis des communistes, peur
de la contagion révolutionnaire.
POUVOIR
des chômeurs, des sentiments nationalistes et de la peur du communisme chez les
industriels.
départ (2,6 °/0 des voix aux législatives de 1928) devient en 1930 le 2ème
parti derrière le PS.
juillet 32, le NSDAP franchit la barre des 37 °/0• et le 30 janvier 1933, le Pt
Hindenbour nomme Hitler chancelier. A quoi est dû ce succès ?
contre une classe politique jugée inefficace et corrompue, contre les
capitalistes « profiteurs de guerre »
milieux d’affaires par peur du communisme
et aura, charisme dans les discours vis-à-vis des chômeurs
programme raciste.
de l’esprit de groupe (cf film) : salut, un chef charismatique auquel on doit
obéissance, un slogan, un emblème pour la manipulation des esprits et une
idéologie : RACISME, NATIONALISME (abrogation du traité de Versailles),
EXPANSIONNISME : UN Reich fondé sur l’expansion territoriale : la recherche de
l’espace vital.
3)- Chronologie détaillée du débat (4 vidéos d’une durée
totale de 1h 07mn)
Aprés 8 mois d’existence l’association met en ligne ce clip de présentation qui reprend les projections passées en 2013 et 2014 .
Une présentation des objectifs, des membres, des contacts et des tarifs de Ciné Citoyen est proposée.
le film de Iciar Bollain « Même la pluie »
d’un débat avec la participation d’invités
l’Actualité se rencontrent en Bolivie :
Colomb à une multinationale de l’eau …
22 AVRIL à 17 H 45
PROVINCE SUD
82 11 77
c6toyen@gmail.com
De récentes études le
confirment : les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes.
Elles voient tout ! Cette particularité remonte, parait-il, aux temps
préhistoriques ou durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans
la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l’homme allait au
mammouth, loin du foyer.
pour laquelle l’homme réussit toujours à retrouver sa tanière alors que la femme
est un peu paumée dès qu’on lui met une carte routière entre les mains. C’est
connu. Ce particularisme peut aussi éclairer une question de
société revenue soudain au devant de l’actualité : qui fait le ménage à la
maison ?
visuel, souffre d’un handicap manifeste. Depuis l’antiquité, il a dû mettre la
main en visière pour regarder au loin l’état de la mer, le vol des oiseaux et le
profil des nuages pour son labeur quotidien.
Il a développé une acuité
lointaine donc intelligente, qui, par ricochet, a réduit son champ visuel
périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près.
là ? ” l’homme répond invariablement «
de la poussière, où çà ? »
C’est scientifiquement prouvé, l’homme ne
voit pas la poussière alors qu’il voit très bien, de loin, la marque de la
nouvelle voiture du voisin, ou le string de la voisine, comme au temps jadis où
il chassait l’antilope.
Cette étroitesse du champ visuel
explique aussi la raison pour laquelle l’homme n’est pas fait pour la vaisselle.
83,67 % des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité
de l’homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l’évier
et le placard. Bing ! Et souvent la femme doit intervenir (« laisse, je vais le
faire moi-même »), consciente de la déficience visuelle de son descendant de
chasseur. Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo.
L’homme est capable de trouver des aliments dont il connait le
pré-positionnement dans l’espace, comme les bières ou les glaçons. En
revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable. L’homme ouvre le
frigo. Conscient de l’étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à
gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là
où justement se trouve la plaquette de beurre.Et ne parlons pas de
la machine à laver et de sa programmation réservée à des êtres qui voient de
près. L’homme voit loin et c’est ce qui fait sa puissance.
devant tant d’évidences, peut-être faut-il cesser ‘évoquer le machisme ou la
fainéantise dans la réticence de l’homme à faire certaines tâches ménagères
au-dessus de ses forces. C’est juste une question de champ
visuel inadapté à l’étroitesse du territoire domestique.
Mais
il ne faut pas désespérer : maintenant que l’homme ne chasse presque plus, son
champ visuel va lui aussi s’élargir. Et un jour, il deviendra enfin l’égal de la
femme dans la maîtrise des arts ménagers. Disons, dans quelques millénaires…
(*) Bonne nouvelle ! Il y aura une autre séance sous trois mois, réservée aux
adhérents 2014.
bien appréciée du public ( environ 110 spectateurs ) ; beaucoup de rires –
surtout féminins 😉 . Une trentaine de personnes sont restées pour le débat,
animé par Stéphanie Milon Sabatier (1)
![]() |
L’Auditorium de la Province Sud est bien garni |
Résumé du débat :
– Une spectatrice : les rapports H/F exposés dans ce film sont le produit
d’un formatage du à l’éducation, et non à nos hormones. Ainsi la différence de localisation de la parole dans
les cerveaux japonais et européens résulte
des styles d’écriture différents dans ces deux cultures. Cette présentation
conforte des stéréotypes ! La Femme et l’Homme ainsi prédéterminés ne seront
pas près d’évoluer
.
– Un spectateur : certes il y a des exagérations, voire des caricatures, mais
c’est voulu : une démarche pour expliquer sans polémique, en faisant rire.
Et on peut se reconnaître sans remise en
cause de notre « virilité » ou féminité. Ce film expose de manière
simple, pédagogique et amusante.
La personnalité et l’identité sexuelle viennent de l’éducation et des
hormones ; c’est un mélange subtil.
– Un spectateur : je me suis senti flashé plusieurs fois. Prendre
conscience de distorsions dans la communication de tous les jours, c’est avoir des clés pour améliorer le fonctionnement
de mon couple.
— Un spectateur reproche à l’Education Nationale l’introduction de la Théorie
du Genre à l’école ; l’éducation sexuelle serait enseignée dès 7 ans. Il
redoute qu’un jour on ne fasse plus de différence entre garçon et fille.
Un spectateur : en milieu mélanésien, le film aurait il le même
écho ? H et F s’y reconnaitraient-ils comme nous le faisons ?
Un spectateur : dommage que l’exposé ne soit fait que par un homme. A propos de l’origine de nos différences ( biologie ou éducation ou les
deux), regarder les autres espèces animales…
Quelques réponses de l’intervenante :
Les différences H/F : elles pré-existent biologiquement ; nos
cerveaux ne sont pas formés de
![]() |
Environ 110 spectateurs se sont déplacés |
manière identique (hémisphère gauche dit
« rationnel » plus développé pour l’homme, plus de connexions entre les 2 hémisphères
par le corps calleux pour la femme) et ne réagissent pas de la même façon ;
attestées entre autres par des analyses scanners. Bien sûr il y a aussi des
facteurs socio éducatifs, d’ailleurs évolutifs. Ainsi, au cours des 30
« glorieuses »(1945-1975) , le côté masculin (commandement, analyse
pratique, esprit de compétition…) était encensé, privilégié. Aujourd’hui on
s’intéresse davantage aux spécificités féminines (empathie, entraide, bien-être
émotionnel…).
. Théorie du genre : l’enfant de 7
ans, on lui fait des cours de sexualité. Dommage qu’on ne lui fasse pas plutôt
des cours pour savoir comment aimer l’autre dans un premier temps, alors que
l’on va apprendre si facilement un métier pendant plusieurs années d’étude.
Au sein d’une même famille, inconsciemment, on n’éduque pas un garçon comme une
fille. En général, le petit garçon a plus tendance à se comparer entre
pairs : qui est le fort, qui a la plus grosse… voiture.
La petite fille apprécie plus le partage d’intimité avec sa/ses meilleures
amies.
Invariants culturels d’un milieu à l’autre :
Apprendre à aimer est la base de notre relationnel, et c’est à la maison que
nous l’apprenons en premier lieu avec le modèle parental.
de soi, l’amour de soi sont fondamentaux pour aimer par la suite l’autre dans
sa différence.
C’est la base sur laquelle reposent les 4 piliers du couple, aussi unique
soit-il. 4 piliers cimentent les couples :
– le respect de l’autre, de sa différence
– la qualité de la communication
– la sexualité, en incluant la tendresse
– les projets communs, que l’on partage
Psychologue clinicienne, spécialisée en Conseil conjugal et familial, ayant
exercé au Relais de la Province Sud depuis sa création il y a 8 ans ; puis
installée en libérale, elle mène des thérapies conjugales et/ou familiales
d’approche systémique à domicile sur le Grand Nouméa.
la mini bibliothèque du CinéCitoyen
FOL, 21 rue Taragnat, Vallée des
Colons ; mieux vaut tél avant au 27
21 40
Si leur acquisition vous intéresse, vous pouvez aussi les commander à C6toyen@gmail.com
matraquage médiatico-économique
dans un style vivant et accessible à tous, AS Jacques mène son enquête et passe
au karcher les idées reçues : si la France faisait défaut, une
catastrophe ? qui détient la dette ?..
http://www.babelio.com/livres/Jacques-La-Crise-et-moi-Petit-manuel-de-resistance-au-mat/467942
rentable A qui profite le système ?
des économistes « citoyens » révèlent cette gigantesque
arnaque – pédagoquique et irréfutable
plus grave que ce qu’on vous dit.. mais on peut s’en sortir !
Larrouturou 2012
livre simple, tonique, pertinent :15 solutions contre la crise économique
à appliquer d’urgence
sortir
la crise ; comment se libérer du joug des marchés financiers
Démocratie ? Montrer que la Dette ne provient pas d’un excès de dépenses
publiques. Présentation des outils théoriques
et pratiques d’une nouvelle démocratie
http://www.france.attac.org/livres/leur-dette-notre-democratie
Fr. Delaisi
incontournable sur les mécanismes économiques qui ont permis le rétablissement
spectaculaire ex nihilo de l’Allemagne ruinée par la crise de 1929
nous de cette crise maintenant !
P. Krugman 2012 Prix Nobel
d’économie
Dans un style accessible, non dénué d’humour, P. Krugman explique pourquoi et
comment il faut abandonner la politique d’austérité
http://missiontice.ac-besancon.fr/ecogest/wp-content/uploads/2013/03/sortez-nous-de-cette-crise.pdf
va payer la crise ?
François Lenglet 2013
Surprenant : un chien de garde, défenseur du système et adepte du
« il faut rembourser la dette »
amorce un virage conceptuel : « un véritable hold-up des
rentiers est en cours. Saurons nous l’arrêter ?
http://www.fayard.fr/qui-va-payer-la-crise-francois-lenglet
la Banqueroute !
FAKIR Editions Comment la France a payé ses dettes depuis
Philippe Le Bel..
http://www.editions.fakirpresse.info/index.php/panier/view/productdetails/virtuemart_product_id/4/virtuemart_category_id/1
PLUS LOIN
LIENS de certains passages de NOTRE MONTAGE
=> DES
ANIMATIONS
PEDAGOGIQUES
chouette Cl.
Autain et Cie ( 4 mn)
Dette : http://comprendrelacrise.wordpress.com/ ou explication simple et détaillée (11mn35)
B) AUTRES SITES OU LIENS signalés par
min TRÈS CLAIRE d’O. Bonfond économiste belge qui parle aussi de
l’initiative française de l’audit de la dette
(oui, grace à toi on l’a intégré à nottre montage, voir + haut NDLR) :
c bien de voir que des pays de l’UE autres que ceux du sud prennent aussi
conscience de cette arnaque pour s’unir et faire pression.
– FACULTATIF sketch sur le prêt bancaire, court et drôle pour détendre
l’atmosphère : (Les
banquiers sont vos amis, ils veulent votre bien : tout votre bien !)
projection?):
=> les réserves fractionnaires sont en réalité de 1/50 (voire 1/100) au lieu
des 1/10 théoriques généralement évoqués:
ensuite ? un exemple chez un proche voisin
http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Espagne-vide-son-fonds-de-retraites-pour-monetiser-sa-dette-17361.html
=> ACCABLANT : Au nom de la loi je vous endette . http://www.youtube.com/watch?v=8olADkBzjeE#t=4
32min sur un livre-enquête approfondie sur le processus de la loi 1973 et ceux
qui l’ont porté.
Très PRÉCIS ET PERTINENT, un peu politique … comme la crise ! élargit
parfois le thème de la dette remise dans le CONTEXTE ; intro jusqu’a 3mn 50
facultative ; final de 4min éminemment politique
dette africaine de Thomas SANKARA, dirigeant intègre, au sommet de l’OUA en 1987
Discours avec humour qui fait mouche : il sera assassiné peu après.
http://www.youtube.com/watch?v=FhkqN6KTtJI
éclairage à l’histoire, non sous l’angle passionnel des idéaux, mais
celui de l’économie, plus rationnel et plus pertinent pour décider… et comprendre un intérêt clé des
guerres : endetter les vaincus et leur enlever leur indépendance financière.
PIERRE ANGULAIRE
du Débat après projection sur la Dette Publique
plus la Dette ! »
ont cité des ouvrages, des sites, un reportage sur les Grandes
Crises ; il est proposé d’envoyer
ces références à c6toyen@gmail.com ; une sélection sera mise sur le blog
afin de prolonger infos et réflexions, sans polémiques partisanes.
Merci !
pourquoi sa Banque n’a pas voulu lui ouvrir un Compte Epargne !
aujourd’hui la loi de 1973, à l’origine de l’endettement actuel de
l’Etat, mais il n’a rien fait pour l’abroger quand il était 1er Ministre. Au
contraire, il l’a entérinée.
les autres pays de l’UE ; mais c’est aux dépens de ses salariés sous –
payés ( 1,80 Euros de l’heure ) : ce sont les gens ordinaires qui paient la
dette de leur pays
aux « nouveaux chiens de garde » sur les véritables causes de la Dette Publique. Le Débat Citoyen,
fondamental en Démocratie, doit être mis en place. La plupart des citoyens ne
sont même pas informés de cette situation.
véritables Maitres du Monde.
appuyés par le FMI ont ruiné les Pays en
voie de dévelop- pement en les faisant se surendetter , et en épuisant leurs
richesses naturelles .
rapport entre ceux qui ont besoin d’argent et ceux qui en ont (trop) à placer. Elles
devraient prêter à un taux convenable.
Elles exercent sur les autorités un chantage permanent : menace de prêter
moins si on les oblige à mieux capitaliser ( réserves fractionnaires) ou à
faire moins de profits.
Décisions du dernier G20 de St Pétersbourg contre les Paradis Fiscaux , mais elles
ne seront appliquées que dans quelques années…
petites gens .
pour séparer effectivement Banques de dépôts et Banques d’affaires
selon l’article 50 de la Constitution de l’UE, faut il l’accord unanime des pays
membres pour quitter l’Union ? (après vérification : NON )
du défaut de paiement pour obtenir « quelque chose » ; On peut garder l’Euro et ne pas payer la Dette .
l’économiste Fr. Asselineau , l’Euro est « intenable » et
condamné à terme : il faut prendre les devants, pour se sortir de cette Dette
qui va nous broyer .
.
pour pouvoir reprêter à l’Etat et aux
collectivités locales sans intérêt.
Marchés financiers .
l’article 3 de la Constitution car actuellement on ne peut révoquer les élus qui ne tiennent pas leurs promesses .
C’est possible.
locale » complémentaire pour sortir de l’Euro, sous contrôle
monétaire est stockée en épargne .
de 300 000 habitants ; montant de la Dette NC ? solutionner leur
dette après un débat démocratique.
Sujet à inscrire aux débats lors des échéances électorales de 2014.
tous les pays occidentaux.
Elle impose des mesures d’austérité, paralyse les
politiques nationales, menace les fondements de l’Union
Européenne.
moyens…
Quelles ressources a t-on réduit ?
Quelles sont les dépenses nouvelles ?
Avec les mesures
d’austérité, sommes nous en bonne voie ?
logique et des mécanismes simples, bien cachés, à l’origine d’un cercle vicieux
d’endettement… Y a t-il d’autres remèdes que davantage d’impôts et
moins de dépenses sociales ?
Sur toutes ces interrogations, l’équipe du
CinéCitoyen vous propose un passionnant montage d’interviews et de films
d’animation.
La projection sera suivie d’un débat, avec
participation d’économistes soucieux .. d’être clairs.
Pour la bande annonce –> voir la vidéo ci-dessous :
Pour les + courageux, une animation sur la Banque Centrale (brrr)
voici un lien concernant “la vérité sur le cholestérol” : qui illustrent bien l’inutilité des statines dans le traitement du mauvais cholestérol.
http://news.doctissimo.fr/Sante/La-verite-sur-le-cholesterol-le-livre-polemique-du-Pr-Even-31290
Vous souvenez vous du Cholestérol ? son excès frapperait des millions de
français…
Relisez BIEN l’interview ci-dessous du professeur de Lorgeril,
chercheur et cardiologue,
qui a révélé l’arnaque dans son livre (2008)
Cholestérol, Mensonges et Propagande : Tout est dit très clairement
Cholestérol
: “7 millions de Français prennent un traitement pour rien !”
depuis plus de dix ans sur le mauvais procès fait au cholestérol et les dangers
des médicaments anti-cholestérol.
Le Point.fr : Le cholestérol ne serait donc pas dangereux ?
Dr Michel de Lorgeril : Au contraire ! Il est à l’origine d’un nombre incalculable
de fonctions, indispensable au bon fonctionnement des cellules, des muscles,
des neurones, du coeur, du cerveau et de la digestion.
Sans lui, pas de communication entre les cellules ; il est à l’origine des
hormones sexuelles, de celles du stress, de la reproduction, et de la très
précieuse vitamine D. Le perturber avec des médicaments, c’est jouer à
l’apprenti sorcier.
Pourtant, on parle du mauvais cholestérol… Il
n’y a pas de cholestérol bon ou mauvais, c’est un mythe.
Ce qui est mesuré n’est pas le cholestérol mais ses transporteurs : les lipoprotéines
ou LDL (désignées comme mauvais cholestérol) transportent le cholestérol du
foie, où il est fabriqué, vers les tissus qui en ont besoin, et les HDL
transportent les excédents des tissus vers le foie. C’est tout.
Il ne serait pas responsable des accidents cardiovasculaires, comme on le
dit ? (…) c’est seulement un médiocre marqueur de risques. Mais pour
connaître les risques cardiovasculaires, mieux vaut interroger les gens pour
savoir comment ils vivent vraiment et examiner consciencieusement chaque artère
par la palpation et le stéthoscope.
D’après, vous le cholestérol ne bouche pas les artères…
Tous les cardiologues savent qu’un infarctus
du myocarde est dû à une occlusion artérielle aiguë, elle-même toujours
causée par la formation d’un caillot de sang. Or, on connaît bien le processus
biologique qui conduit à ce phénomène : plaquettes sanguines, fibrinolyse,
coagulation du sang… Cela n’a rien à
voir avec le cholestérol !
On a aussi accusé le cholestérol d’être responsable de l’altération lente
et progressive de l’artère (athérosclérose).
Cela est faux, car, dans ce dernier cas, le cholestérol est présent au
maximum à 10 %.
Donc, prendre des anti-cholestérol ne servirait à rien ?
Prendre une statine, la principale classe d’anti-cholestérol, n’améliore
l’espérance de vie de personne. Aujourd’hui, les recommandations officielles
sont dépassées car fondées sur des études très anciennes.
Le discours classique incite toujours à prescrire des statines après un
infarctus du myocarde. Pourtant, toutes les études scientifiques récentes depuis
2005-2008, n’ont jamais pu vérifier cette hypothèse.
Il serait urgent de rediscuter de toutes ces recommandations officielles. Mais
ces dernières sont écrites lors de réunions de consensus, majoritairement
financées par l’industrie pharmaceutique, comme d’habitude. Personne n’a donc
intérêt à revenir sur des recommandations qui datent de plus de 15 ans. Enfin,
plus grave, 90 % des prescriptions sont destinées à des personnes qui n’ont
jamais eu d’infarctus et donc à des bien-portants ! On imagine le marché….
Combien de personnes sont concernées par les traitements ?
En France, environ 7 millions de personnes consomment plus ou moins
régulièrement des statines, soit 1,5 milliard d’euros de dépenses pour
l’Assurance maladie ! Avec les effets secondaires que l’on connaît.
Les patients peinent à faire entendre leurs plaintes de douleurs musculaires ou
de problèmes de mémoire (…) Pourtant, les douleurs musculaires sont un effet
bien connu des statines : 15 à 50 % des patients seraient concernés. Les
médecins n’osent pas arrêter le traitement, de crainte d’être poursuivis car
cela ne rentre pas dans la ligne des recommandations officielles.
Outre qu’elles sont inutiles, vous dites des statines qu’elles sont
dangereuses… Absolument. Malgré
les arguments du marketing, les statines n’ont aucun bon effet, sauf
baisser le taux de cholestérol, ce qui, en réalité, ne protège
nullement le coeur. Elles pourraient être éventuellement utiles
pour certaines pathologies rarissimes, et encore… En revanche, à forte ou à
moyenne dose, on augmente les risques de cancer, de troubles sexuels, de
diabètes, des risques également oculaires, cognitifs, voire psychiatriques, et
on empoisonne les muscles.
Quelle est la solution? (…)
On essaie de résoudre ce problème tout en préservant le business. Les États et
les autorités sanitaires ne veulent surtout pas un mouvement de panique. Les statines sont le plus gros marché du
médicament mondial. Imaginez 30 millions d’Améri- cains qui ont pris des
statines pendant X années, à qui on annonce un beau matin qu’on a augmenté de
50 % leur risque d’avoir un cancer, alors que les données existent depuis 10
ans… Le genre de scandale qu’on essaie d’éviter.
Que conseillez-vous donc aux gens qui ont du cholestérol ? Il peut
être un marqueur, très peu fiable, d’un risque cardiovasculaire, mais ce sont
surtout nos habitudes de vie qui sont en cause : le tabac, la sédentarité, une
mauvaise gestion du stress et l’alimentation. (…)Il faut tout simplement
privilégier une diète méditerranéenne : peu de crème, de viande, de beurre
et privilégier des aliments de qualité, sans pesticides, de l’huile d’olive,
des poissons, des céréales complètes, des fruits et légumes… et parfois un
bon verre de vin !
Et à ceux qui ont déjà fait un infarctus? On leur
raconte des mensonges !
Personne n’est condamné parce qu’il a déjà fait un infarctus ! On peut sauver
son coeur et retrouver un risque comparable à ceux qui n’ont jamais eu
d’infarctus par une réforme de son mode de vie, et cela sans statines. L’effort
doit porter là-dessus.
Et puis .. un bel exemple : comment une revue “scientifique” peut nous
embrouiller => cf article et vidéo de Sciences et Avenir de sept. 2009
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/cholesterol/20130902.OBS5213/cholesterol-entre-vrais-espoirs-et-fausse-piste.html
http://www.youtube.com/watch?v=vIbEnuf0Suc
On y mixe
hypothèses, certitudes et erreurs ( on ne “souffre” pas du cholestérol )
on
y parle de Vérité sans dire Comment et par Qui des erreurs énormes (et
profitables) ont perduré
on évoque une prise de conscience en 2013 sans même
nommer le professeur de Lorgeril (voir + haut) (2008)
On nous annonce que la
“communauté scientifique” est déjà sur le “vrai espoir” d’une “molécule
révolutionnaire “
Mardi 24 septembre 17h 45
Les Nouveaux Chiens de Garde ( 1h20) (G.
Balbastre 2012)
intervenant : un journaliste local
les Medias : quelle
indépendance ? info ou intox ? décryptages
http://www.lesnouveauxchiensdegarde.com/
Jeudi 24 octobre 19h et Mardi 29 octobre 19h
Maladies à Vendre 52 mn
de
A. Georget et M. Borch-Jacobsen
Des maladies
inventées pour élargir le marché des médicaments
http://www.filmsdocumentaires.com/films/1517-maladies-a-vendre
Mardi 26 novembre 18h
La
Dette Publique, Arnaque du Siècle ?
+ Le mécanisme de la création monétaire
plusieurs courtes vidéos ( Dessins animés + E. Chouard)
le hold up incroyable
de la Finance
+ Confessions d’un corrupteur de nations (J.
Perkins) (12 mn)
la dette : instrument d’asservissement des
peuples
journalistes présents (*)
Film
intéressant mais un peu caricatural : ne pas assimiler aux grands
présentateurs, de connivence avec les responsables politiques et économiques,
l’ensemble des journalistes qui tentent
de faire de leur mieux.
En NC la Télé n’est pas aussi inféodée que le film le laisse entendre. Relative
liberté de choix et de traitement des sujets. Ainsi on pourrait réaliser un
reportage sur les délits financiers…
Mais : – Petit Territoire, tout le monde se connait, la proximité fait problème ;
non spécifique à la presse – Justice..
– Réticences des gens à s’exprimer sur des sujets sensibles
Evocation du rachat récent des Nouvelles, seul quotidien de NC, avec départ de
plusieurs journalistes.
Regret que des professionnels concernés
ne soient venus exposer cette situation problématique.
Le travail des journalistes est gravement compromis s’ils ne peuvent protéger
leurs sources. Il faut exercer une grande vigilance citoyenne contre cette menace très actuelle.
Parfois copiage ‘circulaire’ de l’info : ainsi un rédacteur en chef (en
métropole) cochait les articles qui lui plaisaient dans le Parisien et
demandait aux journalistes de faire des papiers similaires
Dépêches AFP : ce sont des correspondants locaux qui
envoient des infos, pas toujours recoupées, mais reprises en boucle ; s’il
y a erreur, il est souvent trop tard pour rectifier.
?
Réponse : l’on
doit et l’on peut être honnête, mais il n’est pas possible d’être « objectif ».
Ne pas confondre Vérité (respect des faits, des chiffres) et Réalité (
inaccessible, trop complexe).
fabriquée, scénarisée, aboutit à déformer ou fausser la réalité.
Exemple
« chaud » :

lien avec un procès d’assises, et qui donnera lieu à un sit in de
mécontentement devant RFO le lendemain car la population de Canala est montrée
sous un angle incomplet et partial. Le journaliste présent, chargé de l’enquête,
estime avoir fait le tour du sujet et dit que des responsables directement
concernés ont refusé de s’exprimer..
Critiques sur la télé :
de sujets d’investigation ; le format télé
: briéveté (1 à 2mn) et priorité
aux images : ce qui ne permet pas de développer les sujets en profondeur.
Evocation du remarquable travail de décryptage de l’information réalisé par
l’équipe d’Acrimed (Action Critique des Medias, voir leur site) qui a
d’ailleurs participé à la réalisation du film.
Faits divers :
Observer la Une des Nouvelles : comment on « privilégie »
certaines violences ainsi que l’émotionnel.
Manque de mise en perspective. Avec un fait divers mis en évidence, l’on
stigmatise une frange de la population. Alors que des études montrant le
contraire sont laissées de côté ; exemple à l’appui.
pourrions nous être mieux informés, moins manipulés ?
. national :
réorganiser un véritable pluralisme, comme le CNR (Conseil National de la
Résistance) l’avait recommandé et mis en place ; mais les organes de
presse se sont peu à peu re-concentrés.
. local : internet, réseaux
associatifs, espace critique dévolu dans
un organe de presse ?
. au plan personnel : ne pas se limiter à une seule source d’infos,
surtout quotidienne ( manque de recul )
SUIVRE…
présents : à titre personnel un journaliste Télé et le rédacteur en chef
du Chien Bleu.
Des journalistes des Nouvelles, contactés, ont décliné notre invitation ;
DES SITES ET DES LIENS :
– une analyse du film, par Laurent Mauduit :
pourquoi faire ? par Henri Mahler :
DES LIVRES :
( P. Nizan) 1932 ce livre est à Bernheim
de garde ( S. Halimi) 2005
– L’opinion ça se travaille (S. Halimi )
2002
(A. Dorozynski) 1984
DES DVD :
nécessaires (Noam Chomsky) 1988
Chomsky est un décrypteur hors pair, il montre les dessous des cartes
visible sur Daily Motion ; emprunt possible à Ciné citoyen
tarif spécial pour étudiants et chômeurs